Elle intégrait alors une partie du canton de Saint Esprit (aujourd'hui faubourg de Bayonne), et sa population était de 250 habitants. 

En 1795 la commune reprend son nom chrétien de Saint Barthélemy.

Dès lors, la paroisse cessa d’exister car à l’époque les municipalités établies sous la constituante de chaque paroisse furent remplacées par des municipalités cantonales chargées d’administrer un secteur plus étendu. La paroisse retrouva son autonomie et son appellation d’origine en 1800.   

Le 17 février 1805, la commune agrandissait son territoire allant jusqu’à « Montpellier » (Saint Laurent de Gosse), « Martinolet » (Saint Martin de Seignanx), puis une partie du sud de Biaudos. 

Eglise

Une première église fut édifiée dans la commune par l’architecte Louis puis elle fut détruite pour laisser place à une nouvelle église néo-gothique en 1873 sur des plans de l'architecte Soussigné de Biarritz. Un premier curé réside à Saint Barthélemy en 1849 mais les travaux de construction du presbytère débutent en 1868.

L'ancienne église détruite en 1873

L'église en construction en 1873

Ecole communale

La première école communale, appelée Maison Commune, apparaît en 1878.  C'est à cette époque en effet que dans cette petite localité sans grandes ressources, que va sortir de terre un ensemble de bâtiments (presbytère, église neuve, école) dont le coût avoisina les 100 000 francs. Ces constructions, hors de proportion avec les moyens communaux, ont pu voir le jour grâce à la générosité de quelques riches propriétaires, dont l'un en particulier, Eugène Trubert qui fut maire du village pendant quelques années.

Jusqu’au XIX^ème siècle, Saint Barthélemy possédait un petit port sur l’Adour qui était alors une voie navigable très importante pour la région. 

Aujourd’hui la commune compte environ 400 habitants pour une superficie totale de 5,66 Km2.